La voiture électrique, ça paye pas
Lun 07/06/2010 — Le PDG de Tesla Motors en est hélas pour lui la preuve vivante.

Des amis qui lui font confiance, alors qu'il ne possède même pas son logement (toujours d'après les documents fournis au tribunal), mais parce qu'il possède un portefeuille de millions d'actions dans des sociétés pour lesquelles certains prévoient une forte croissance (dont évidemment Tesla Motors). Un juge appréciera cette situation, mais on peut déjà écrire que la future ex-madame Musk semble très raisonnable. Elle ne demande que 10 % des actions de son mari dans Tesla Motors, et bien sûr une pension mensuelle pour élever les enfants qui resteraient sous sa garde.
La société Tesla Motors ne devrait donc pas être affecté par ce divorce, mais cette information est un coup de projecteur sur les difficultés formidables des entrepreneurs de l'électrique. Surtout Tesla Motors qui a énormément investi, alors que la société reste très loin d'être profitable. Alors que pour la voiture électrique soit réellement durable, sa production doit devenir rentable.
Rubrique(s) et mot(s)-clé : Tesla ; industrie-production