Jeep Wrangler : propulsion trop classique ?
Sam 02/12/2017 — Essence ou diesel.
C'est une icône, il faut la soigner. Avec la Morgan, le roadster anglais, la Jeep est la seule voiture au monde dont le style ait très peu évolué en trois quarts de siècle. Cette Jeep Wrangler édition 2018 est entièrement nouvelle, avec un chassis tout neuf, mais elle reste immédiatement identifiable comme une Jeep. La seule et l'unique ! Aucune autre voiture n'a un parebrise rabattable, ni des portières simples à démonter. C'est dans l'habitacle que la voiture a le plus changé. Elle s'est mise au goût du jour, mais en voyant le levier du frein à main gainé de cuir, avec une surpiqüre contrastée, certains évoqueront avec nostalgie la rusticité du modèle originel. Les groupes propulseurs ont eux aussi beaucoup changé, mais là, on dira peut-être pas assez.
Aux Etats-Unis, le moteur qui aura le plus de succès, sera un V6 de 3,6 litres essence de 285 ch. Les clients pourront aussi choisir un V6 diesel de 3 litres et 260 ch. Enfin, il y aura un 4 cylindres de 2 litres, turbocompressé, de 270 ch, avec un système micro-hybride, un alterno-démarreur entrainé par courroie. On parle pour l'horizon 2020 (ou plus tard) d'une motorisation hybride rechargeable, il est regrettable qu'elle ne soit pas disponible au lancement de cette nouvelle génération de Jeep.Rubrique(s) et mot(s)-clé : Jeep ; essence-diesel